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Aliceau Pays des Merveilles 2 : le Chapelier Fou passe de l'autre côté du miroir [Photo] 28/10/2009, 11:31 Logofrancophone du film. Alice de l'autre côté du miroir (Alice Through the Looking Glass) est un film américain réalisé par James Bobin, sorti en 2016. Il fait suite au film Alice au pays des merveilles réalisé par Tim Burton en 2010. Bien que ce second opus ne soit pas réalisé par Tim Burton, ce dernier est chargé de sa production. En2010, Tim Burton revenait à ses premières amours en réalisant Alice au pays des merveilles pour les studios Disney. En effet, dans ParKevin Prin. Toujours prévu pour le 24 Mars prochain dans les salles, le nouveau film de Tim Burton, une relecture de Alice au pays Aliceau pays des merveilles, 13e long métrage des studios Disney, est assurément l'opus le plus atypique de tout le catalogue des films d'animation produits par la firme de Mickey du vivant de Walt Disney lui même. Ce dernier vouait, en effet, un véritable culte à l'oeuvre de Lewis Carrol et tenait beaucoup à cette adaptation. Site De Rencontre Directe En Ligne. Manga news > Manga > Série > Alice au pays des merveilles - Disney > Alice au pays des merveilles - Disney - Intégrale Volume » Fiche News Editions Images Coms1 JP Title アリスインワンダーランド Translated Title Alice in wonderland By ABE Jun With ABE Jun , BURTON Tim Traducteur CITROEN Laetitia Publisher FR Pika Collection Shonen Type Shonen Genre Comedie, Fantastique Publisher JP Kôdansha Release date 01 June 2016 Illustration 328 pages n&b + couleurs Publisher Description Une fiche de référence sur Alice au pays des merveilles, un chef-d'oeuvre de Tim on l'a dit, c'est un adulte meurtri même la vision ou le souvenir de la jeunesse ne peuvent apaiser sa rage meurtrière. Enfin, dans Alice au pays des merveilles 2010, Johnny Depp est un personnage secondaire, chapelier fou aux boucles rousses et aux yeux d'émeraude, à l'inquiétant sourire de cire ...Les grands films méritent le même traitement que les grands livres. Sur le modèle des fiches de lecture, les fiches cinéma d'Encyclopaedia Universalis associent une analyse du film et un article de fond sur son auteur - Pour connaître et comprendre l'œuvre et son contexte, l'apprécier plus finement et pouvoir en parler en connaissance de cause. - Pour se faire son propre jugement sous la conduite d'un guide à la compétence ouvrage conçu par des spécialistes du cinéma pour tout savoir sur Alice au pays des merveilles de Tim propos de l’Encyclopaedia Universalis Reconnue mondialement pour la qualité et la fiabilité incomparable de ses publications, Encyclopaedia Universalis met la connaissance à la portée de tous. Écrite par plus de 7 400 auteurs spécialistes et riche de près de 30 000 médias vidéos, photos, cartes, dessins…, l’Encyclopaedia Universalis est la plus fiable collection de référence disponible en français. Elle aborde tous les domaines du savoir. GENRE Sci-Fi & Fantasy RELEASED 2016 April 28 LANGUAGE FR French LENGTH 20 Pages PUBLISHER Encyclopaedia Universalis SELLER RC WEB SOLUTIONS SIZE KB More Books by Encyclopaedia Universalis Lewis Carroll VS Alice Cooper VS Layne Staley, dans un threesome musico-littéraire où se mêlent shock-rock, héroïne et lapins géants. Tu veux halluciner avec trois fêlés qui rivalisent d'ingéniosité malsaine en matière de trips bizarres ? Prends ton fouet, tes lunettes de soleil, et mange ce putain de gateau. Ils s'appellent donc tous Alice, sont connus, et on peut pourtant voir de vraies différences entre eux. L’âge Alice Cooper est incontestablement le plus vieux né en 1948. Alors qu'au Pays des Merveilles on ne vieillit pas, et Layne Staley, le chanteur d’AIC, là où il est, ne vieillira plus il est mort en 2002, à 34 ans. La dégaine On a le choix entre une petite fille blonde, une espèce de vieux démon pervers armé d’un fouet, et un type tout maigre avec des lunettes de soleil même quand il fait nuit. La possibilité de les confondre est donc assez faible. Le but recherché Layne Staley a beaucoup couru après la drogue, pendant qu’Alice Cooper a beaucoup couru après les gonzesses. Alice, elle, court constamment après un lapin blanc qui possède une montre à gousset. Rien à voir on vous dit. Le rapport à Hollywood Alice au Pays des Merveilles a donné lieu à de nombreuses adaptations filmées, dont celle réussie de Tim Burton. Alice Cooper a lui financé la rénovation d’un “O” du panneau Hollywood en 78, et il apparaît dans "Wayne’s World" ou "Dark Shadows". AIC a gagné un Award avec “Would ?”, sur la de Singles. A la rigueur Hollywood les rapproche. Le rapport aux autres L’univers créé pour Alice par Lewis Carroll est compliqué, entre les vrais gens, les animaux et les théières qui parlent, on n’y comprend finalement rien. Alice Cooper lui, change de musiciens tous les deux ans et semble avoir quelques problèmes dans son rapport aux autres. Hormis Layne Staley et Mike Starr, morts tous les deux, Alice In Chains a par contre gardé le même line-up. La dernière livraison Alice In Chains et Alice au Pays des Merveilles ont en commun d’avoir donné le meilleur d’eux-mêmes tout récemment. "Black Gives Way to Blue", sorti en 2009, est un album fantastique, et le film de Tim Burton 2010 est excellent. Par contre, le dernier album marquant d’Alice Cooper date de 1991 "Hey Stoopid". Le sport Alice Cooper joue au golf depuis qu’il a arrêté de boire dans les années 80. Alice pratique l’athlétisme pour échapper aux soldats de la Reine de Coeur. Mais Layne Staley n’était pas un sportif dans l’âme. Du tout, du tout. L’avenir Il sera difficile pour Alice Cooper de retrouver son lustre d’antan, parce qu’antan, c’est loin. Alice In Chains est reparti de plus belle avec William DuVall. Le Pays des Merveilles est quand à lui sauvé, jusqu’à la prochaine fois. La généalogie Alice Cooper s’appelle en fait Vincent Furnier. Alice In Chains est un groupe où il n’y a pas d’Alice mensonge !. Quant à Alice, elle s’appelle juste Alice, comme la blonde qui vendait jadis des box Internet. Comme quoi... SynopsisAvisBande-annonceArticles et vidéosCastingTitre original Alice in WonderlandAnnée de production 2010Pays Etats-Unis Genre Film - Fantastique Durée 109 min. Synopsis Alice, 19 ans, ne se sent pas à sa place dans la société engoncée de l'Angleterre victorienne. Et c'est sans hésitation que lors d'une garden-party elle repousse la demande en mariage de l'ennuyeux Hamish Ascot, fils de lord. En poursuivant dans le parc un lapin portant gilet et montre à gousset, elle tombe dans un noir terrier et fait une chute vertigineuse pour atterrir dans une petite salle circulaire comportant plusieurs portes. La clé dont elle dispose ouvre la plus petite d'entre elles. Trop grande pour la franchir, Alice boit le contenu d'un flacon providentiel qui la fait rétrécir. S'ouvre alors à elle le monde fantastique d'Underland, qui alimente ses rêves depuis l'enfance L'avis de Téléstar On s'attendait à ce que l'univers de Lewis Carroll - ici assombri - inspire davantage Tim Burton, qui nous sert un film assez ennuyeux, dépourvu de magie, de poésie et d'émotion, qui n'a pour lui que sa beauté visuelle. Mieux vaut revoir le dessin animé de 1951 Bande-annonce Vous regardez Alice au pays des merveilles. Votre bande-annonce démarrera dans quelques secondes. Articles et vidéos sur Alice au pays des merveilles Cinéma Le 01/04/2018 à 16h01 VIDÉO - Découvrez les très nombreux clins d'œil que les animateurs ont caché dans le film...Danse avec les stars Le 30/11/2015 à 11h16 La jeune Marie Lopez, 20 ans, a chuté avec son partenaire de danse Yann-Alrick Morteuil lors du...9Culture Le 12/10/2015 à 19h09 Cruella avec des gambettes d'enfer, Maléfique en décolleté diabolique...Un dessinateur a imaginé... Casting de Alice au pays des merveilles Acteurs et actricesJohnny Depple chapelier fouHelena Bonham Carterla reine rougeAnne Hathawayla reine blancheMatt LucasTweedledee / TweedledumCrispin GloverIlosovic Stayne - le ValetFrances de la TourTante ImogèneGeraldine JamesLady AscotLindsay DuncanHelen KingsleighMichael SheenMac Twisp, le lapin blancRéalisateurScénario Alice au Pays des Merveilles, un récit qui a inspiré tant d’œuvres, notamment au cinéma. Si pour beaucoup l’adaptation du texte de Lewis Carroll est d’abord [celle de Walt Disney] dans les années 1950, ce ne fut ni la première, ni la dernière comme en a malheureusement témoigné la version de Tim Burton sortie en début d’année. Bien des années avant cette remise au goût du jour, Norman McLeod sortait sa vision son Alice au Pays des Merveilles est sorti en 1933 et c’était déjà à l’époque une version très moderne, avec multiples effets spéciaux. Ces derniers ont aujourd’hui un charme désuet, mais le film vaut surtout par l’influence qu’il a pu avoir sur l’imaginaire collectif entourant Alice. Alice au Pays des Merveilles version 1933 mêle en fait les deux récits de Lewis Carroll. Si la postérité retient surtout le premier opus et notamment son titre, le Britannique avait aussi écrit une suite nommée De l’autre côté du miroir. McLeod choisit de commencer son film avec ce dernier Alice, 12 ans et quatre mois, s’ennuie ferme alors qu’on l’interdit de sortir sous la neige. Rester auprès du feu avec sa surveillante pour coudre ne l’enchante guère et elle tourne en rond, littéralement. Profitant du départ de la surveillance adulte, elle monte sur la cheminée et pousse le miroir tout en imaginant la maison de l’autre côté, une maison qui serait identique à la sienne, mais inversée. Là voilà qui passe de l’autre côté du miroir et découvre un monde effectivement inversé, où les portes s’ouvrent du bas vers le haut et où on peut regarder une photo de l’arrière. C’est aussi un monde étrange où les horloges parlent et disent n’importe quoi et où les pièces d’un échiquier sont vivantes. Alors que l’histoire semblait donc clairement s’orienter du côté du miroir, l’histoire traditionnelle d’Alice reprend vite ses droits. La jeune fille suit un lapin dans le jardin, tombe dans le trou et se retrouve dans la fameuse pièce avec la petite porte. Dès lors, tous les évènements bien connus sont exploités par le film, le chapelier fou et son thé permanent, la reine rouge qui veut décapiter tout le monde et joue au cricket avec des Flamands roses, la chenille qui fume un narguilé, le mystérieux chat fantôme, etc. Il est assez fascinant de constater que l’histoire d’Alice se répète sans vrais ajouts d’une adaptation à l’autre. Certes, l’histoire est toujours la même, celle de Carroll. Mais enfin, le récit fantastique était suffisamment riche pour permettre des adaptations différentes et on s’aperçoit vite qu’elles sont toutes très proches. Le cru 1933 de Alice au Pays des Merveilles donne un peu l’impression de voir les fondements d’un mythe qui sera ensuite décliné, mais jamais vraiment renouvelé[^1]. La scène de la chute dans le trou et de la petite pièce reprendre ainsi à s’y méprendre à leurs équivalents chez Disney ou même chez Burton. À tel point que l’on peut avoir le sentiment d’assister à une énième redite un brin lassante, ce qui n’est pas juste si l’on pense à la chronologie. L’inspiration est forte, au point qu’une séquence entière a été simplement dupliquée dans le film d’animation de Walt Disney le film de McLeod contient une séquence animée pour raconter l’histoire cruelle des huitres et la séquence est identique, la couleur exceptée, à ce que fera Walt Disney une vingtaine d’années plus tard. Une manière de signaler l’inspiration principale pour les studios d’animation ? Comme chez Walt Disney, le message de Lewis Carroll est édulcoré par le Alice au Pays des Merveilles de McLeod. Le texte original s’adressait aux enfants pour proposer un message bien éloigné du puritanisme anglican, offrant à ceux qui savaient lire entre les lignes une célébration de la drogue en bonne et due forme. Rien de tel ici les substances avalées par Alice sont toujours inoffensives même quand il s’agit d’un champignon, tandis que la fumée de la chenille, par exemple, n’a aucune utilité concrète. De manière générale, le film propose un traitement premier degré assez surprenant pour nos yeux modernes habitués aux films à plusieurs niveaux. Aucun second degré perceptible ici, on suit une petite fille modèle dans ce pays merveilleux et on le découvre avec ses yeux et ses yeux seulement. Alice s’émerveille souvent, s’étonne de temps en temps, a parfois peur… mais cela ne va jamais bien loin. Encore enfant, elle accepte largement ce qu’elle voit et tout le côté roman initiatique a totalement disparu quand le film se termine, Alice se réveille et c’est comme s’il ne s’était rien passé. Ce premier degré est constant et donne lieu à quelques dialogues totalement absurdes et parfois involontairement comiques. On regarde l’ensemble d’un air amusé, incapables de prendre au sérieux cet univers, comme s’il ne s’agissait que d’une parodie. Le film est cependant plus noir que le dessin animé qui a suivi par exemple, et met plus l’accent sur l’absurdité des situations on a ainsi une séquence d’anthologie avec une tortue à tête de vache qui n’arrête pas de pleurer et qui est plutôt impressionnante. Beaucoup plus, d’ailleurs, que la reine rouge habituellement grande méchante des adaptations d’Alice au Pays des Merveilles, mais traitée ici sur le mode de la bouffonnerie et de la farce. Sorti dans les années 1930, Alice au Pays des Merveilles est également techniquement amusant aujourd’hui. Pourtant, le film n’est pas totalement ridicule, loin de là. Le tournage a été fait sans doute entièrement en studio, avec de nombreux décors et toiles peintes créés pour le film, ainsi que de nombreux déguisements ou marionnettes. Tous les personnages fantastiques sont interprétés par de véritables acteurs, ce qui leur donne un côté théâtral assez plaisant. À comparer cette version à l’ancienne et la très moderne et mauvaise version de Tim Burton sortie récemment et qui faisait étalage d’une puissance technique sans borne et sans intérêt, on se dit que les effets spéciaux à outrance ne sont pas forcément une bénédiction pour le cinéma. Alors certes, le flou pour signifier les changements de taille d’Alice, c’est un peu léger, mais peu importe et cet Alice au Pays des Merveilles a clairement un charme. Cela dit, au jeu des comparaisons, on se dit aussi que la meilleure version reste peut-être, finalement, celle de Walt Disney. Peut-être est-ce le souvenir de l’enfance qui ressort, mais je trouve qu’une histoire comme celle d’Alice bénéficie bien des libertés offertes par l’animation. Tim Burton a cependant bien prouvé qu’une liberté technique totale ne suffit pas à faire une bonne adaptation de Alice au Pays des Merveilles. À choisir, je préfère encore le charme désuet de la 1933 qui a en plus le bon goût de ne pas durer trop longtemps et qui ne souffle d’aucune baisse de rythme, les différents éléments s’enchaînant à toute allure. L’adaptation de Alice au Pays des Merveilles par Norman McLeod est un document intéressant par son statut de film fondateur. Sa vision du récit de Lewis Carroll est celle qui s’est imposée depuis et que l’on retrouve autant dans le dessin animé de Walt Disney des années 1950 que dans la version Tim Burton de 2010. Bénéficiant d’une technique au charme désuet, le film se révèle très premier degré quant à sa vision de cet univers fantastique marqué entre les lignes par la drogue. Intéressant pour les amateurs d’Alice au Pays des Merveilles… Le film sortira en DVD en septembre, dans une version restaurée, mais qui présente malgré tout de nombreux signes de son grand âge.

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